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SHITTY DAY

15 avril 2007

FACE B

going away

This story smells like shit,

This story smells like shit.

Trying to think about heaven, but my tears pull me in hell.

I believe in once upon a time

But you believe in nothing

I love feeling you and taste your body

Even if i know that it is ephemeral

One day i wish you’ll love me...but...

You wish to leave me...

There’s no even a beginning of “us”

Because you, know...

Our story smell like shit...

Anyway...

pic: http://p0lly.skyblog.com

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13 avril 2007

J’ai ce truc tout le temps. Cette chose qui te

Kiss

J’ai ce truc tout  le temps. Cette chose qui te pousse à bout. Je ne peux pas la contrôler. Toutes tes marques d’affections ne changeront rien.je l’ai.

C’est comme une maladie.j’ai des crises comme ça parfois.

J’aime me battre avec tes mots et ton corps. Chercher celui qui fait mal. L’enrouler et te le balancer à la gueule, attendre que tu réagisses.attendre que tu me fasses mal. Te crier dessus, te faire mal a nouveaux. Jouer aux ping-pongs des mots.

Attendre que tu répondes par un mot blaissant.pleurer,me rattraper,

me consoler…et puis tout de suite tu viens en moi

et j'oublie

Je te tue à petit feu.

"Je te veux pour moi. Regarde moi . regarde en face et pas à côte. Je suis le centre. Ton nombril et rien d’autre."

Mais…ce matin dans cette putain de chambre où nous avons a tant lutté, j’ai voulue jouer à ce maux.je t’ai menacer…

J’ai courrue dans la rue…je me suis retourner…

j’étais seule...

pic:Less Common

13 avril 2007

FACE A

Arrêter. Tout arrêter, faire arrêt sur image, et avance rapide. Histoire que la séparation se face sans douleur. Pour oublier, vite.

Ne jamais s’accrocher, s’éprendre, se confier. Jamais.

S’attacher à quelque chose que tu n’auras jamais.

Des fois je me dis que c’est beaucoup trop dure. S’attacher et se détacher, le même résultat : tu as mal.

Moi j'ai mal tout le temps, pour n’importe quoi ,et généralement tu connais ce n’importe quoi, toi.

Regarder comme si de rien n’était, oublier la veille, les jours d’avant, les semaines, les avants, et l' avenir.je savais tout ça dès le départ, je savais que j’allais souffrir…

Mais j’ai pris un goût à la souffrance, la souffrance de croire qu’avec un peu de chance sa marchera.

Boom ! Non.tu as crevé mon rêve à coup de : « c’est du solide,s’est sincère » « je t’a…. »

Et moi comme une conne je t’ai cru. Il ne me reste plus assé de larmes pour pleurer. Plus de courage pour crier. Plus de force pour me venger.

Juste cette petite chose en moi, qui grandi, grandi. Ce petit reste de toi,oublié…

pic:Romain B James

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